Le 4 mars annonce-t-il, même en cas de refus de l’initiative, une révolution à la SSR? Probablement. Parce que même sans ce psychodrame, elle aurait dû survenir, tôt ou tard. Parce que dans le grand chambardement médiatique, rien ne peut continuer comme avant. Car nous nous mettons tous à consommer images, sons, textes par des canaux nouveaux, avec des habitudes nouvelles même si les anciennes persistent.